Legrand Christine

mardi, 25 mai 2021 04:50

photos these web lusson© Photos : Marie Lusson

 

Coupées par les digues et les seuils, polluées par les rejets industriels, urbains et agricoles, désassemblées pour leur eau ou leurs graviers, 42 % des rivières françaises sont en mauvais état écologique et morphologique. La directive européenne de l’eau de 2000, dite « DCE » vise la reconquête des milieux aquatiques. Dans ce but, les Agences de l’eau encouragent les opérations de restauration des rivières. Or, l’ingénierie de la restauration est une pratique non stabilisée entrainant de nombreuses controverses. Celles-ci soulèvent des questions techniques, sociales et politiques.

Afin de comprendre I) comment se fabriquent les projets de restauration et II) comment sont évalués les projets de restauration une fois terminés, la thèse fait le récit sociohistorique de quatre projets de restauration morphologique conduits dans le bassin versant du Rhône qui empruntent quatre trajectoires et prennent quatre formes distinctes : la restauration-rapiéçage, la restauration-revitalisation, la restauration du non-agir et la restauration-exposition.

 

Chaque chapitre analyse la situation d’une rivière et la modalité de gestion singulière qui y est mise en œuvre, révélant des états biotiques, historiques et politiques distincts, et à des stades d'avancement divers. En éclairant les projets morphologiques sous des angles changeants, chacun des chapitres vient dessiner une image plus détaillée de la restauration. Ils rendent également compte du travail de composition et de diplomatie engagé par les professionnels du domaine, obligés faire tenir ensemble des intérêts et des exigences humaines et plus-qu’humaines.

 

Mots clés :  sociologie des sciences, controverses, restauration, rivière, hydromorphologie

jeudi, 17 décembre 2020 16:00

Les influences mutuelles entre les activités humaines et les ressources naturelles sont au cœur des débats sociétaux. Les défis à l’égard de la gestion de l’eau en dépendent différemment selon les situations locales. Dans ce contexte, la communauté de recherche en hydrologie s'interroge sur la pertinence de ses modèles pour représenter les activités humaines en interaction avec les ressources en eau. La littérature est riche en études dans lesquelles la complexité des processus modélisés concerne l'hydrologie. Mais les activités humaines comme l’irrigation sont représentées de façon plus ou moins agrégée et de manière tendancielle voire stationnaire au cours du temps. Comme en témoignent les réflexions en cours au sein de la « sociohydrologie », il est nécessaire de mieux documenter les diverses interactions et rétroactions dues à l’irrigation au sein des agro-hydrosystèmes. Les interactions à court terme sont particulièrement peu explorées. Or, à court terme, la gestion de l'irrigation repose sur des contraintes opérationnelles, comme celles inhérentes à la distribution de l’eau, qui peuvent impacter de manière significative l’état à venir des cultures et des récoltes. Vice versa, l’état des cultures influence la fréquence et la répartition spatiale des opérations d’irrigation qui modifient localement l’état des ressources en eau. De plus, la plupart des approches de représentation des actions humaines au sein de ces systèmes assimilent l’action à sa phase de décision, faisant souvent fi du niveau opérationnel. Ainsi, la question explorée dans la thèse est la suivante :


Comment pouvons-nous représenter au niveau opérationnel les actions des irrigants dans l'espace et le temps pour prendre en compte de manière dynamique et située leurs interactions avec les composantes agrohydrologiques du système ?

Et que pourrait apporter cette représentation aux discussions sur la gestion de l'eau d’un cas précis ?

Nous proposons d’abord de mobiliser le concept d’Affordance pour construire un modèle à base d’agents (WatASit) représentant explicitement les possibilités d'actions des irrigants en situation de tension pour le partage de l’eau. Appliqué à un réseau gravitaire typique du bassin du Buëch en Durance (France), nous montrons que les trajectoires des agents dépendent de l’évolution de leurs possibilités au cours de la campagne d’irrigation et que l’analyse de ces possibilités aide à l’interprétation des comportements individuels et collectifs. Notamment, les conséquences de l’abandon de la coordination par tours d’eau du réseau, observé lors des enquêtes de terrain, ne semble pas impacter tous les irrigants de la même façon en renforçant les inégalités spatiales entre l’amont et l’aval du réseau. Nous proposons ensuite le cadre COPAT (COupling Plant and Agent Trajectories) pour coupler un modèle de culture à l’échelle de la parcelle (Optirrig) et le modèle WatASit à l’échelle du réseau d’irrigation. La cohérence temporelle du couplage repose sur la dérivation du modèle de culture en fonction journalière. À chaque pas de temps journalier, l'irrigation reçue par chaque parcelle est déterminée par les opérations des agents contraints par le partage de l’eau au sein du réseau collectif. Un stress hydrique plus précoce est observé par rapport à une irrigation qui ne dépendrait pas d’un tel partage, mais la coordination du réseau par tours d’eau tend à limiter ce stress. Enfin, nous proposons une méthodologie de couplage COWAT (COupling Water and Agent Trajectories) avec le modèle hydrologique spatialisé J2000 et mettons en évidence certains points de vigilance pour assurer la cohérence spatiale à une échelle fine. Au final, le concept d’Affordance permet d’inscrire la modélisation des actions humaines dans un débat interdisciplinaire plus large sur leur représentation et l’hydrologie est pensée en interaction avec ces actions humaines et les enjeux opérationnels de la gestion de l’eau.

 

Mots-clés : irrigation collective ; gestion opérationnelle ; modélisation à base d'agents ; modèle de culture ; modélisation hydrologique distribuée ; Buëch.

 

Bastien RICHARD a soutenu sa thèse en Sciences de l'eau préparée à l'institut des sciences et industries du vivant et de l'environnement (AgroParisTech) au sein de l'école doctorale Agriculture, Alimentation, Biologie, Environnement et Santé (ABIES)

La soutenance a eu lieu le 17 décembre à 10h00 en Visioconférence du fait de la situation sanitaire, devant le jury composé de :

  • Christophe Cudennec, Professeur, Institut Agro – AgroCampus Ouest, Rapporteur
  • Benoit Gaudou, Maitre de conférences, Université de Toulouse Capitole, Rapporteur
  • Sandrine Anquetin, Directrice de Recherches, CNRS, Examinatrice
  • Delphine Burger-Leenhardt, Directrice de Recherches, INRAE, Examinatrice
  • Rémy Courdier, Professeur, Université de La Réunion
  • Olivier Barreteau, ICPEF, INRAE, Co-Directeur
  • Bruno Bonté, Chargé de Recherches, INRAE, Co-Encadrant
  • Isabelle Braud, Directrice de Recherches, INRAE, Co-Directrice
vendredi, 01 juin 2018 18:11

Une formation intitulée "Empirical tools to investigate preferences and economic behavior for the management of natural resources: stated preference methods and experimental economics" s'est déroulée du 07 au 10 mai 2018 au Centre for Environmental Economics and Policy in Africa (CEEPA), Department of Agricultural Economics (Université de Pretoria).

2018 ceepa form1Cette formation a vu la participation de 25 personnes, en grande partie des étudiants des Universités Sud-africaines (U Pretoria, mais aussi U. Johannesburg, U. of South Africa, U Kwazulu Natal, U. Cape Town, U. Venda). Les étudiants provenant de ces universités étaient originaires d'un panel large de pays de la région : Zimbabwe, Mozambique, Kenya et Nigéria.

 

 

 

 2018 ceepa form2Les participants ont été très actifs et motivés pendant les 4 jours de formation répartis en une journée sur l'evaluation contingente (E. Mungatana), deux journées sur la modélisation des choix expérimentaux (T. Lundhede, D. Jourdain), et une journée en économie expérimentale (S. Farolfi).

 

 

 2018 ceepa form3

Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site via le lien suivant : https://sites.google.com/view/ceepa-phd-training-may-2018/home

lundi, 12 février 2018 14:36

2018 gis zabr grPhoto ©ZABR

L’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse et les chercheurs du groupement d’intérêt scientifique de la Zone atelier du bassin du Rhône (GIS-ZABR) ont renouvelé, à Lyon, leur accord de partenariat pour développer des travaux de recherche sur le fonctionnement du Rhône et son bassin versant.

L'UMR G-EAU intervient dans le GIS-ZABR au titre d'équipe associée. Olivier Barreteau est co-animateur du thème Observation Sociale des Territoires Fluviaux.

mardi, 10 décembre 2019 14:54

1 Canal 900 nassifLe Canal 900 (Békaa-Ouest) construit par l'état pour distribuer l'eau du lac Karaoun n'est plus opérationnel à cause de la pollution du lac. Il est aujourd'hui utilisé comme réservoir par les agriculteurs qui y amènent l'eau de leurs forages privés - © M.H. Nassif

 

Dans les années 60, le Liban s'enthousiasme pour la 'mission hydraulique' qui anime alors le monde et planifie une mise en valeur à grande échelle des ressources en eau du bassin du Litani, le plus grand bassin hydrographique du pays. Les vicissitudes de la guerre civile et les contraintes financières limiteront, pendant un demi-siècle et jusqu'à nos jours, la réalisation de ce rêve. Mais si la construction étatique de barrages et de systèmes d'irrigation publics est restée limitée, les ressources en eau du bassin, et plus particulièrement de la plaine centrale de la Bekaa, ont été activement mises en valeur par des initiatives individuelles ou collectives locales.

Cette thèse pose la question de la gouvernance de l'eau dans le bassin du Litani, et plus généralement au Liban. Elle examine la gouvernance "en acte", c'est-à-dire comment la distribution du pouvoir discursif, décisionnel, et politique entre les différentes parties prenantes concernées par cette ressource explique à la fois l'action, ou l'inaction, de l'administration et les dynamiques locales. Elle chronique la territorialisation de l'action publique à trois échelles emboîtées: celle du bassin, où la mobilisation et la matérialisation du 'mythe du Litani' sont sans cesse contestées et renégociées ; celle du périmètre d'irrigation public du Canal 900, où l'optimisme technologique de la bureaucratie se confrontera à la complexité des territoires locaux ; et celle de la région de Terbol où seront mises en évidence les dynamiques locales de la (sur)exploitation des ressources en eau, à la fois superficielles et souterraines, ainsi que la collision entre ces dynamiques et la planification régionale des services d'eau potable par le gouvernement.

La gouvernance de l’eau dans le bassin du Litani apparait comme pauvre en ressources, fragmentée, sans mécanismes de coordination, avec des arbitrages opérés au niveau des familles politiques/confessionnelles qui se partagent le pouvoir au Liban. Une situation qui entérine une gouvernance dés-intégrée de l’eau, qui va souvent à l'encontre d'une rationalité économique ou hydrologique, ou de la durabilité environnementale.

 

2 Garde Canal de Qabb Elias nassifL'un des trois "Chawa" (Gardes-canal) du système d'irrigation communautaire de Qabb-ELias (Békaa centrale). Ce système séculaire, alimenté par la source karstique de Ras-El-Aïn, est encore aujourd'hui géré par la communauté de cet ancien village de la Békaa. Cependant, la source de Qabb Elias devient de moins en moins abondante, ce qui pousse la communauté à s'orienter vers l'usage de l'eau souterraine comme complément. © M.H. Nassif

 

Cette thèse préparée au sein de l’école doctorale Territoires, Temps, Sociétés et Développement et de l’unité de recherche UMR – G-Eau : Gestion de l’eau, Acteurs, Usages (Spécialité : Géographie et Aménagement de l’Espace) a été soutenue le mardi 10 Décembre 2019 à 14h30 dans la salle des actes du site de Saint Charles 1 de l’Université Paul Valery devant le jury composé de :

  • Pierre Blanc, professeur à Sciences Po Bordeaux et Bordeaux Sciences Agro, politologue, rapporteur
  • Eric Verdeil, Professeur des université à Sciences Po Paris, Géographe, rapporteur
  • Ronald Jaubert, Professeur Emérite, Economiste, Graduate Institute of International and Development Studies, Genève; et Université de Lausanne, Suisse, président du jury
  • Marielle Montginoul, Economiste, Directrice de Recherche, IRSTEA, UMR G-Eau, Montpellier, examinatrice
  • Caroline Lejars, Economiste, Chercheuse au Cirad, UMR G-Eau, Montpellier, examinatrice
  • Stéphane Ghiotti, Géographe, Chargé de Recherche HDR, CNRS, UMR ART Dev 5281 Montpellier, examinateur
  • François Molle, Directeur de Recherche, IRD, UMR G-Eau, Montpellier, directeur de thèse
mardi, 23 janvier 2018 15:31

Marine FAVRE a soutenu sa thèse intitulée "La demande en eau des ménages face au changement global : l'accès individuel généralisé est-il durable ? Le cas de la Tunisie",

Le mardi 23 janvier à 14h, à Montpellier SupAgro (2 place Pierre Viala à Montpellier) en salle 9/206,

mardi, 16 janvier 2018 14:26

Intissar FERCHICHI a soutenu sa thèse de doctorat en Génie Rural Eaux et Forêt le 16 décembre 2017 à l’Institut National Agronomique de Tunisie.

Titre de la thèse : Evaluation des services de l’eau agricole et renforcement des interactions des acteurs de la gestion de l’eau-Cas d’un système à multi niveaux de gestion (périmètre public irrigué de Zaouiet Jedidi, Cap Bon-Tunisie

Le jury était composé de :

Examinateurs : Pr. Hamadi HBAIEB, INAT- Pr. Zohra Lili, INAT  

Rapporteurs : Dr. Marcel Kuper, CIRAD- Pr. Akissa Bahri, INAT

Directeur de thèse : Pr. Abdelaziz ZAIRI, INRGREF ; Co-directeur de thèse : Dr. Serge Marlet, CIRAD    

Résumé :

           En Tunisie, les problèmes posés par la gestion des systèmes collectifs d’irrigation et leurs faibles performances continuent de faire constamment l’objet de recherches, de débats et de controverses, compte tenu des investissements importants et des réformes successives engagés pour améliorer la gestion de ces systèmes. Le manque de pertinence et d’efficacité des interventions actuelles d’amélioration peut être expliqué, en partie, par la complexité des problèmes de gestion des systèmes irrigués. En effet, l’évolution de ces systèmes (contexte, historique, usage…), les interactions qui existent entre leurs différentes composantes et les indépendances entre les différents acteurs gestionnaires ou usagers, sont autant d’éléments qui plaident en faveur du développement du renforcement du lien entre l’évaluation et les démarches d’amélioration de la gestion des systèmes irrigués. D’autre part, la faible mobilisation des acteurs de l’eau autour de ces interventions et l’échec d’une implication active des acteurs locaux (agriculteurs et des GDAs) dans les processus de formulation de leurs besoins et de résolution des problèmes, ont freiné les avancées de plusieurs interventions et ont mis en question leur légitimité et efficacité. L’implication des acteurs locaux dans la résolution de leurs propres problèmes et l’amélioration de leur capacité d’adaptation ne garantissent pas le succès de ces interventions, mais peuvent améliorer leurs résultats.

Cette thèse se propose d’évaluer les modes de gestion des systèmes irrigués des agrumes dans le Cap Bon, en particulier au sein du GDA de Zaouiet Jedidi, et d’accompagner les acteurs locaux en vue de co-construire et de mettre en œuvre une intervention d’amélioration. Nous nous sommes intéressés à l’étude d’un système qui met en relief la complexité des problèmes de gestion des systèmes collectifs d’irrigation. Il s’agit d’un système  multi-niveaux et multi-acteurs qui est limité dans sa capacité d'adaptation par une pénurie d’eau  à laquelle il est soumis depuis plusieurs années.

Pour ce faire, nous sommes allés au-devant du dilemme des démarches d’évaluation qui font émerger  des tonalités indiscutablement négatives quant aux performances de ces systèmes, sans pour autant déboucher sur des articulations à même de remonter aux causes des problèmes et d’orienter les interventions d’amélioration. Au lieu de nous limiter à juger l’efficacité de la gestion actuelle des systèmes irrigués, nous avons privilégié une analyse causale qui permet de relier les symptômes et les causes de dysfonctionnement. Nous avons fondé notre analyse sur une approche systémique et globale des différents niveaux du système et des interactions entre eux et nous avons privilégié d’étudier comment les différents acteurs réagissent à une telle contrainte physique en termes de règles de gestion et de mécanismes de coordination qu’ils ont créés, qu’ils ont façonnés ou qu’ils ont parfois rejetés.

Nous avons employé par la suite les résultats de cette évaluation dans la planification et l’accompagnement de la mise en œuvre d’une intervention d’amélioration de la gestion de l’irrigation dans le cadre d’un projet de recherche action. Nous avons enfin analysé dans quelle mesure la mise en œuvre d’une intervention d’amélioration, basée sur la participation des parties prenantes et le renforcement des mécanismes de coordination, permet aux acteurs de l’eau d’interagir dans un processus d’apprentissage collectif et d’améliorer leur capacité d’adaptation aux contraintes du système.

L’analyse de la situation de la pénurie d’eau dans ce système met en évidence qu’il s’agit d’une pénurie physique induite par les modes d’usage des ressources en eau souterraine et de surface et des politiques de répartition de l’eau entre différents usagers. Afin de gérer l’incertitude qui marquait ainsi l’approvisionnement en eau de ce système, les gestionnaires ont souvent opté pour des compromis et des changements des règles collectives qui ont réussi dans certains cas à alléger les impacts de la pénurie et dans d’autres cas à aggraver le dysfonctionnement du système et à accroitre la vulnérabilité de certains usagers. Nous avons mis en évidence les faiblesses des mécanismes de coordination au niveau des interfaces entre acteurs et nous avons examiné les logiques et les facteurs qui expliquent ces défaillances. En analysant comment les agriculteurs à leur tour réagissent à cette pénurie d’eau, nous avons mis en évidence une grande diversité de stratégies et de pratiques individuelles qui tendent à maximiser l’accès aux ressources en eau de surface et souterraine selon les différentes capacités. Cependant, ces pratiques qui peuvent avoir des gains individuels pour quelques agriculteurs ont évidemment des implications négatives sur les performances collectives du système.

Enfin, l’accompagnement de la mise en œuvre d’un processus d’amélioration participatif dans ce périmètre irrigué et l’évaluation de ses effets, nous a permis de valider le rôle de l’apprentissage dans le changement de la perception des acteurs qui a accéléré, au cours de certaines étapes de l’intervention le processus de résolution des problèmes, mais l’a freiné dans d’autres.

 

Mots clés : gestion de l’eau d’irrigation, système à multi-niveaux, pénurie d’eau, évaluation systémique, coordination, amélioration des performances, apprentissage, pratiques d’adaptation, agrumes, Tunisie.

lundi, 15 janvier 2018 14:56

Mme OUMAIMA TANOUTI a présenté ses travaux en soutenance le 19 décembre 2017 à 9h30

à l'Université Paris Nanterre - Bât B - Salle René REMOND (B015)

en vue d'obtenir le diplôme de Doctorat en Lettres & Sciences Humaines

Titre de la thèse : La gestion intégrée des ressources en eau à l'épreuve du bassin versant: le cas du bassin du Tensift au Maroc

Le jury était composé de :

M. BERNARD BARRAQUE, Directeur de Recherche émérite, CNRS PARIS, Rapporteur du jury
M. MARCEL KUPER, Directeur de Recherche - HDR, CIRAD, Rapporteur du jury
M. DAVID BLANCHON, Professeur des Universités, Univ. Paris Nanterre, Membre du jury
M. STEPHANE GHIOTTI, Chargé de Recherche, Univ. Montpellier 3 Paul Valéry, Membre du jury
M. ALI HAMMANI, Professeur Enseignement Supérieur, INSTITUT AGRONOMIQUE HASSAN II, Membre du jury
M. FRANÇOIS MOLLE, Directeur de Recherche, IRD, Directeur de thèse

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