L’eutrophisation côtière est reconnue comme l’une des menaces les plus importantes qui pèsent sur la santé des socio-écosystèmes (SES) côtiers à l’échelle globale. Malgré des efforts soutenus et de longue date, l’eutrophisation persiste aujourd’hui dans une majorité de sites concernés. GreenSeas abordera cette question de durabilité, reconnue comme un « wicked problem », en s’appuyant sur le cas complexe et multi-site de la Bretagne (France), l’une des régions côtières les plus affectées par l’eutrophisation en Europe.
L’objectif général est d’impacter positivement et durablement les moyens d’existence des populations sur des territoires donnés. Pour ce faire, le projet considère les différentes santés d'un système socioécologique (santé végétale, santé animale, santé humaine et santé environnementale), ainsi que les interactions entre les processus qui les caractérisent.
Ce mois-ci, vient de paraître l'article commentaire de François Molle intitulé "Aquifer Recharge and Overexploitation: The Need for a New Storyline".
Le projet vise à améliorer les pratiques de fertigation des agriculteurs en Afrique du Nord, en caractérisant et en co-expérimentant avec les agriculteurs les voies d'amélioration d’une pratique répandue, à savoir les extraits de thé à base de fumier artisanal en l'agriculture irriguée.
Le concept de « Buon Vivere » (Bien Vivre) est un ensemble de bonnes pratiques et de principes fondamentaux qui incitent les groupes sociaux à créer de nouvelles bases fondées sur les valeurs d'égalité, de durabilité et de responsabilité.
L'ouvrage de Christelle Gramaglia intitulé "Habiter la pollution industrielle : Expériences et métrologies citoyennes de la contamination" va paraître très prochainement.