Le Séminaire MATHÉO du jeudi 4/12/14 à 11h en salle Olivier à AgroParisTech (MONTPELLIER, Campus d'Agropolis 648 rue Jean-François Breton,  Localiser sur une carte) sera présenté par Jean-Christophe Fabre du LISAH:

OpenFLUID : une plateforme logicielle pour la modélisation et la simulation du fonctionnement intégré des paysages

La formation continue de professionnels du secteur

L'UMR intervient régulièrement en formation professionnelle sur l'ensemble de ses domaines d'expertise.

A titre d'exemple, l'unité organise régulièrement des formations sur Wat-a-Game, des formations en métrologie et régulation hydraulique, des formations sur l'utilisation d'un modèle de culture pour le pilotage de l'irrigation (OPTIRRIG), des formations sur l'utilisation du modèle hydraulique SIC.

Les formations d’ingénieurs

Au Nord, les trois tutelles de l’enseignement supérieur de G-EAU sont des écoles d’ingénieurs. Au Sud, la plupart de nos partenaires avec cette mission sont aussi des Écoles d’Ingénieurs (INAT en Tunisie, IAV Hassan 2 et ENAM au Maroc, 2iE au Burkina, IAT en Thailande) ou des centres de formations de Master professionnalisant ( IWEGA au Mozambique). Il est donc naturel que nous soyons très impliqués dans ces parcours de formations pluridisciplinaires pour y diffuser des méthodes et outils mobilisables par des ingénieurs.

Implication de l’unité dans la formation par la recherche 

Les personnels de l'UMR interviennent sous différentes formes :

  • Master et Mastère : 1500 à 2000 heures de cours (2/3 au Nord dans les formations de 2 tutelles de l’Unité (AgroParisTech et Montpellier SupAgro) et dans le Master Eau, 1/3 au Sud avec des chercheurs expatriés dans des établissements d’envergure régionale).
  • Chaire d’enseignement et de recherche « Eau pour Tous », soutenue par la fondation Suez Environnement.
  • Doctorats : l’UMR est équipe d’accueil de 4 Ecoles Doctorales : GAIA et EDEG (Montpellier), ABIES (Paris), Physique, Modélisation et Sciences pour l'ingénieur (Marseille).

Le projet de recherche EAU&3E a réuni des équipes françaises travaillant sur la question de la durabilité des services d’eau.

Pour la première fois en Europe, depuis une vingtaine d’années, la consommation d’eau potable stagnait ou même baisse dans certaines grandes villes – Paris, Berlin, Madrid, Milan, Barcelone… Or, ce qui pouvait apparaître comme allant dans le sens du développement durable n’y allait pas forcément : pour les services de distribution d’eau ou d’assainissement – industries où les coûts sont largement fixes – une baisse même faible de la consommation signifiait une baisse de recettes. Cette évolution intervenait au moment précis où la facture d’eau était dans le collimateur d’une opinion publique mobilisée contre les augmentations et plus méfiante vis-à-vis du « modèle français » de délégation.

 

 

 

 

 

 

Une source gérée de façon communautaire en Ariège. Crédits : Laure Isnard

Dans ce contexte et face à la montée d’incertitudes nouvelles (évolution incertaine des consommations, retour en vogue des solutions individuelles d’approvisionnement en eau, changement climatique…), comment assurer la durabilité des services d’eau et d’assainissement ? Une modification de la tarification suffirait-elle à résoudre ces problèmes ? Avec quelles conséquences sur les usagers, notamment les plus démunis ?

 

 

C’est à ces questions que les partenaires du projet Eau&3E ont cherché à répondre, en proposant une démarche intégrée et globale de prospective de la durabilité des services d’eau. Il s’est agi pour eux de développer une approche prévisionnelle de la demande en eau (et donc de comprendre ce qui la fait baisser aujourd’hui), mais aussi d’analyser et confronter le potentiel de durabilité des politiques de l’eau selon les trois grands critères du développement durable, que nous appelons les 3 E : Économie, Environnement et Éthique.

Le projet de recherche Eau&3E se situait dans le volet « infrastructures, réseaux et constructions » de l’appel à projets Villes Durables de l’ANR. Il associait 5 partenaires scientifiques et 2 entreprises, localisés à Paris, Strasbourg, Bordeaux et Montpellier. Débuté en 2009, le projet a contribué à répondre à la question que se posaient de plus en plus les autorités distributrices et leurs opérateurs : nos services d’eau sont-ils durables ?

Enregistrer

Page 43 sur 49
FaLang translation system by Faboba
APT Logo fra      logo brgm web frlogo inraeLogo Institut Agro Mpl petit

 

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer